L’incontinence : comment la gérer ?

L’incontinence urinaire est la perte involontaire d’urine. On estime que plus de 200 millions de personnes souffrent d’incontinence dans le monde et plus de 3 millions en France. Dans cet article, nous vous présentons des conseils simples pour réduire les effets de l’incontinence chez les adultes :

Utiliser des produits d’incontinence

Les protections anatomiques constituent une solution idéale pour les personnes qui souffrent de fuites urinaires au quotidien. Leur polyvalence est inégalée, car il existe de nombreuses options pour répondre à tous les besoins : pour les hommes ou les femmes, pour différentes tailles, âges et pour différents degrés d’incontinence. Ainsi, les protections anatomiques dans la boutique en ligne Senea sont des protections discrètes qui neutralisent les odeurs. Elles restent sèches à tout moment et prennent soin de la peau de l’utilisateur, tout en s’adaptant à son anatomie sans se faire remarquer.

Boire de l’eau de manière équilibrée

De nombreuses personnes souffrant d’incontinence réduisent leur consommation de liquide afin de réduire la gravité de leur incontinence. Cependant, cette pratique fait plus de mal que de bien. Une consommation adéquate de liquide est essentielle au fonctionnement normal des voies urinaires et à la prévention des calculs rénaux et vésicaux et des infections des voies urinaires.

Un apport insuffisant en liquide peut entraîner une concentration d’urine à forte odeur. Cette urine est très irritante pour la vessie et peut entraîner une urgence, une fréquence urinaire et une incontinence par impériosité. L’urine diluée n’irrite pas la vessie.

Eliminer la consommation d’alcool et de tzabac

Certains aliments et boissons peuvent irriter la vessie et entraîner une incontinence par impériosité. En plus d’être un produit irritant pour la vessie, l’alcool contenu dans les boissons fortes, la bière et le vin augmente la miction. Il diminue la conscience nécessaire pour uriner jusqu’à ce que la vessie soit pleine. Cela augmente le risque d’incontinence car l’envie d’uriner peut être plus intense et difficile à contrôler.

D’autre part, le tabagisme comporte un risque élevé d’endommager le sphincter urinaire à la base de la vessie en raison d’une toux chronique. Ce sphincter contrôle la miction et est nécessaire pour éviter les fuites involontaires d’urine. La toux chronique peut affaiblir et endommager le sphincter et entraîner une incontinence. Une deuxième conséquence du tabagisme est l’irritation de la vessie par les sous-produits du tabac. Il en résulte une urgence et une fréquence urinaires.

Une troisième conséquence est une augmentation marquée du risque de cancer de la vessie. L’apparition soudaine d’une urgence urinaire et de la fréquence des mictions ou de la présence de sang dans les urines doit faire l’objet d’un examen rapide. En arrêtant de fumer, les chances d’éviter l’incontinence s’améliorent et les problèmes liés au tabagisme peuvent être plus facilement résolus.

Contrôler le poids

L’excès de poids est associé à un risque accru d’incontinence. En effet, un poids excessif exerce une pression sur les muscles du plancher pelvien qui soutiennent la vessie et l’urètre. La perte de poids peut réduire la gravité de l’incontinence.

Un programme de perte de poids sain est une composante importante d’un programme de traitement de l’incontinence. Une motivation de plus pour perdre du poids.